A LOmbre Des Maris Série 2 Troisième Partie : Farida Et Son Fils Karim
Mon histoire avec Ghania dura jusquau moment où elle mit au monde une petite fille,
quelle prénomma Chiraz, un prénom dorigine perse, très à la mode en ce temps là. Je
ne savais pas comment elle pouvait en être si sûre en même temps quavec moi, elle
continuait de faire lamour avec son mari - mais elle mavait certifié que l
était de moi. Et je la croyais. Pendant toute sa période de grossesse, nous avions
continué à nous aimer et à faire lamour avec toujours autant dintensité. Ghania
avait cette particularité, par rapport à un grand nombre de femmes enceintes, de
prendre son état de grossesse comme une bénédiction. Au contraire de tant dautres à
limage de mon Ex, qui avait fait une maladie de ses deux grossesses elle
sépanouissait au fur et à mesure que son ventre grossissait. Elle était limage même
du bonheur ! Et elle en devenait encore plus belle.
Et pour ne rien gâcher, son envie de faire lamour navait pas perdu de son intensité.
Elle continuait à soffrir à mes coups de boutoir avec autant de plaisir quauparavant
et les orgasmes quelle avait étaient aussi forts. Elle en était elle-même un peu
étonnée. Elle me disait parfois, quelle craignait dêtre devenue une vraie nymphomane
et quil lui arrivait davoir peur pour son bébé. En entamant avec moi, une partie de
jambes en lair, elle commençait toujours par me demander de faire attention, à ne pas
y aller trop brutalement et de ne pas trop appuyer sur son ventre. Et puis,
rapidement, elle se laissait envahir par le plaisir et me hurlait dy aller encore
plus vite et plus fort
et de la traiter comme une chienne. Une « kelba ! ». Sans
précaution ! Et jobéissais avec un plaisir non feint. Jy allais à fond ! Et
lintensité du plaisir que jen prenais grandissait dans les mêmes proportions que son
ventre grossissait.
Et même, quand il ne métait plus possible tant son ventre était devenu énorme de
la lui faire lamour allongée sur le dos, sans risque pour le bébé, elle se mettait à
quatre pattes sur le fauteuil et me demandait de lenculer. Bizarrement, jusque là,
nous navions encore pratiqué la sodomie. Alors que jai toujours adoré le faire avec
mes femmes, je navais encore jamais éprouvé le besoin de le faire avec elle; peut-
être parce quun jour elle mavait dit quelle trouvait cela trop sale. Il faut dire
aussi que je nétais pas en manque de ce côté ci, puisque quand le besoin denfiler un
anus me prenait, jutilisais celui de Soraya, qui elle adorait la sensation de mon zob
mettant le feu dans son cul.
Javais donc profité du cul de Ghania pendant les derniers trois mois de sa grossesse.
Javais eu limmense plaisir de lui exploser lanneau brutalement, comme à mon
habitude et de la faire hurler de douleur. La première fois, elle napprécia pas. Ni
la deuxième fois, non plus. Elle mavait reproché gentiment de lui avoir fait trop
mal. Et puis, petit-à-petit, peut-être parce quelle voyait tout le plaisir que moi
jen tirais, elle se mit elle aussi à aimer. Et elle en devint accro. Jusquà se faire
enculer par son propre mari, à qui elle avait toujours refusé la sodomie. Dun côté,
elle aimait cette sensation de rectum rempli par un zob même si entre les deux,
cétait le mien, plus imposant, quelle préférait et la brulure procurée par le
limage de sa paroi rectale; dun autre, cétait disait-elle pour que Ali ne soit pas
en manque de sexe et quil aille voir ailleurs, comme le faisaient beaucoup de maris
sevrés de baise, à cause de la grossesse avancée de leurs épouses.
Et puis, ajoutait-elle avec malice et par provocation il ny avait pas de raisons
pour que je sois seul à profiter de son cul.
avait dû lui mentir sur les raisons de son anus trop ouvert, alors quil était censé
être vierge. Mon engin étant passé par là plusieurs fois, elle avait en effet le cul
explosé. A lil nu, il était loisible de voir quelle avait lanus très ouvert. Elle
ne laissa pas son mari sen apercevoir par lui-même et lui affirma, sans vergogne, que
cétait à cause de son état de grossesse que son anus était ouvert. Elle lui affirma
doctement, quelle avait en permanence la sensation dêtre sur le point de déféquer,
tant le bébé pesait sur son gros intestin. Et il la crût ! Et il lencula avec
délectation ! Pauvre Ali, qui devait, sans le savoir, se contenter de mes restes !
En fait Ali, toujours sans le savoir, se vengea de la pire manière qui fût pour moi.
Il garda son épouse pour lui tout seul. Elle disparut en effet de ma vie, sans même
ressentir le besoin de me donner dexplications. Après laccouchement, elle changea du
tout au tout. Damante, elle devint maman! Rien que maman ! Plus rien ne compta plus
pour elle que son bébé. Il devint le centre unique de sa vie. Elle ne revint plus au
bureau. Elle avait pris, comme toute nouvelle maman, trois mois de congé de maternité,
suivis dune année de mise en disponibilité. Au bout de ce temps, elle démissionna en
me laissant malheureux et perdu. Je lavais appelée des dizaines de fois sur son
téléphone portable, pour lui expliquer que javais besoin de la revoir et de reprendre
nos relations. Au début, elle me faisait patienter, en me disant que son bébé notre
bébé était trop petit et trop fragile et quil avait trop besoin de sa présence. Et
puis, petit à petit, elle refusa de prendre mes appels. Elle finit même par changer le
numéro de son téléphone, pour ne pas avoir à me répondre.
Il se passa un long moment, avant que je ne me fasse à lidée que je nallais plus la
revoir et quelle ne voulait plus de moi.
torride que javais avec Soraya, mon autre assistante et amante, narrivaient pas à me
rendre la sérénité que javais auparavant avec Ghania. Pendant longtemps, javais
vraiment maltraité la pauvre Soraya. Cétait comme si elle avait été la cause du
départ de mon amour. Je lavais traitée comme une pute, qui était à ma disposition et
qui navait rein dautre à faire quà subir ma mauvaise humeur et ma maltraitance.
Cétait dans mon esprit, devenu malade à cause de Ghania, une moins que rien que je
pouvais utiliser chaque fois que javais besoin de passer mes nerfs sur quelquun. Je
me vengeais sur elle davoir perdu Ghania.
Et la fidèle Soraya accepta tout de moi, sans jamais se plaindre. Elle semblait
malheureuse, non pas que je la traite ainsi, mais que je sois moi-même malheureux. Je
suis sûr que si elle avait pu me la ramener, elle naurait pas hésité une seconde à le
faire. Elle avait même été plusieurs fois lui rendre visite, pour me rapporter de ses
nouvelles et aussi, et surtout, pour lui parler de moi. Pour lui expliquer létat de
déprime dans lequel mavait mis son absence. Sans résultat. Et quand elle mannonçait
que la veille elle avait vu Ghania et son bébé, et quelle lui avait parlé de moi,
sans résultat, je men prenais à elle en la traitant dincapable. Je voyais ses yeux
qui se remplissaient de larmes, mais elle ne rouspétait pas. Elle ne maccusait même
pas dêtre injuste envers elle. Elle se contentait de baisser la tête et de repartir
vers son bureau, le dos vouté, comme si elle venait de vieillir dune dizaine
dannées.
Parfois, je me rendais compte de ma goujaterie et me reprochais de me comporter ainsi
avec elle. Je lappelais et mexcusais auprès delle. Son visage silluminait et elle
se jetait dans mes bras en membrasant avec passion. Cette femme était une vraie perle
! Elle était certainement très amoureuse de moi.
je ne pouvais pas la payer de retour. Et puis, elle était mariée et avait des s.
Et il nétait pas question pour elle de sacrifier son foyer et ses s, auxquels
elle tenait comme à la prunelle de ses yeux. Mais jétais sûr quelle avait pour des
sentiments qui dépassaient de loin, le simple plaisir érotique aussi intense fut-il.
Et moi, jen profitais, sans vergogne.
Pendant longtemps, je fis delle la suppléante érotique de Ghania. Je lui fis toutes
les cochonneries imaginables, la traitant moins bien que je laurais fait dune femme
vénale; dune pute que jaurais payée pour assouvir mes bas instincts. Je lai prise
dans toutes les positions, lui fis faire des choses que je naurais pas, une seule
minute, fait faire à Ghania. Je me suis, pendant toute cette période, évertué à lui
faire mal et à lavilir. Je lai traitée de tous les noms pendant que je la baisais,
pas parce que jen avais besoin pour accroitre lintensité du plaisir que je prenais
en elle, mais par pure méchanceté et par vengeance malsaine.
Et la merveilleuse Soraya acceptait presque avec bonheur que je la traite ainsi. Je
lui faisais lamour, jen prenais du plaisir, et cétait tout ce qui comptait pour
elle. Elle y prenait elle aussi, un plaisir évident. Il mapparut très vite quelle
adorait être traitée comme cela avec brutalité autant physique que verbale. Elle se
laissait même aller à commenter les sensations quelle avait sur mes coups de manches
brutaux. Elle marmonnait - et parfois, elle hurlait - quelle aimait être ma chienne.
Et elle me le disait dans un langage fleuri.
- Nik kelba ! Nik Soraya ! Kelba li ett-heb ki et-nikha ! Li ett-mout 3ala zeb!
Li ett-hab ki touwdja3ha! Edjbed! Zid edjbed! Bezzour! Kessarni! Kessar hatchoun
Soraya! En-hab! En-hab zebek! Kelba! Kelba! (Nique la chienne ! Nique Soraya ! La
chienne qui aime quand tu la tires ! Qui adore le zob ! Qui aime quand tu lui fais mal
! Tire ! Tire encore ! En force ! Démolis-moi ! Démolis ma chatte ! Jaime ! Jaime
ton zob ! Chienne ! Chienne !)
Elle jouissait en hurlant. Elle criait quelle aimait mon zob et quelle était son
esclave et quelle adorait ! Et à la fin des orgasmes consécutifs quelle avait, quand
il ne lui restait plus aucune force et quelle fût devenue une chiffe molle, sans
aucun tonus, son visage silluminait dun merveilleux sourire, qui me faisait chaud au
cur, effaçant du coup, la sensation de culpabilité que je pouvais avoir parce que
jétais conscient davoir été injuste envers elle. Soraya ne men voulait pas pour ma
muflerie et était heureuse.
/
Nous continuâmes ainsi longtemps. Je ne cherchais pas à remplacer Ghania, qui
continuait de squatter mon esprit et mon cur. Soraya me suffisait pour assouvir mes
instincts de satyre. Nous vécûmes cette vie bizarre pendant longtemps. Une année au
moins. Jusquau jour, où elle me présenta Farida, qui vint donner un coup de pied dans
la fourmilière dune vie encore toute pleine de mon amour absent. Ce fut Farida qui,
un moment remplaça Ghania. Pas de la même manière et pas dans mon cur. Elle apporta à
ma vie amoureuse un autre souffle ; une autre expérience ; toute aussi riche
quauparavant, bien quelle restât tout le temps purement sexuelle.
Un jour, en effet, Soraya vint me demander « un service ». Ce nétait pas dans ses
habitudes de demander quoi que ce soit. Et cela métonna un peu. Elle me dit, en
baissant hypocritement les yeux, quelle avait fait une « bêtise » en affirmant à une
des voisines que je connaissais très bien le Directeur Général de lentreprise de
transport maritime - ENTM - et quil ne pouvait rien me refuser. Elle avait seulement
oublié, ajouta-t-elle, que son amie avait un fils qui suivait des cours à lInstitut
Supérieur dEtudes Maritimes, pour devenir officier mécanicien. Et quil venait de
terminer sa formation. Il lui restait à suivre un stage pratique sur un bateau pour
valider son diplôme dofficier mécanicien. Farida, la voisine, une femme à qui on ne
pouvait rien refuser sauta sur loccasion pour exiger que je lui sois présenté pour
que je puisse lui rendre ce service.
Jétais furax, parce que javais toujours eu en horreur les interventions. Mais, je
devais bien cela à Soraya, qui elle, ne mavait jamais rien refusé, y compris de vivre
ave moi des situations pénibles, y compris pour son amour propre. Je ne lui fis pas de
reproche, mais je refusai de recevoir. Je lui dis simplement de me ramener le dossier
du jeune officier pour que je le transmette avec une recommandation à mon ami le DG.
Soraya qui me connaissait parfaitement, avait devancé ma réaction et me présenta le
dossier quelle avait déjà sur elle. Je fis le nécessaire en appelant mon ami et en
lui transmettant - par porteur - le dossier pour quil fasse le nécessaire. Le temps
passa et joubliai laffaire. Jusquau jour où Soraya pénétra dans mon bureau, un peu
affolée, pour mannoncer la visite de sa voisine et de son fils. Pris au dépourvu, je
ne pus rien faire dautre que de recevoir la dame et son rejeton.
Quand ils pénétrèrent dans mon immense bureau jeus tout le temps dobserver mes
visiteurs (mon prédécesseur avait fait sauter une paroi mobile pour jumeler deux
bureaux ; il avait ainsi créé un immense espace qui lui permettait dobserver, de
loin, tous ses visiteurs qui étaient obligés de parcourir une longue distance avant
darriver à sa hauteur). La femme la cinquantaine, bien conservée était assez
grande et mince. Certainement une fausse maigre, me dis-je. Elle portait un fouloir en
soie noire, qui ne cachait que ses cheveux, laissant visible son visage en entier,
ainsi que son menton et une partie de son cou. Certainement pas un foulard islamique,
me dis-je. Elle portait aussi une longue liquette en coton multicolore, avec du bleu
comme couleur prédominante. Et un pantalon en jean gris, extrêmement moulant, pour ce
que je pouvais en juger, en me fondant sur ses genoux et ses mollets, seules parties
de ses jambes visibles sous la liquette. Elle semblait aussi avoir des hanches
relativement larges et, au vu sa démarche, un fessier bien plein et bien rond. Le plus
remarquable chez elle, cétaient ses petits yeux gris très mobiles, légèrement
enfoncés dans leurs orbites. Des yeux de vicieuse, métais-je immédiatement dit.
Vicieuse dans mon esprit voulait dire, une femme qui aime faire lamour et qui était
prête à toutes les aventures et expériences érotiques, mêmes les plus improbables.
Cétait une espèce de préjugé chez moi : les petits yeux enfoncés dans leurs orbites
étaient lapanage des salopes : les femmes qui aiment baiser et qui provoquent leurs
proies avec leurs yeux mobiles et leur sourire énigmatique. Javais, dans ma jeunesse
connu une femme mûre avec ces caractéristiques et qui avait expérimenté sur moi tous
ses fantasmes. Et à chaque fois, elle ne me lâchait quaprès mavoir complètement vidé
de ma sève et mavoir enlevé toute ma vigueur de jeune étalon. Et depuis, jen avais
fait une règle : toute femme qui possède de tels yeux, ne peut être quune salope pour
laquelle seul compte le sexe. Son corps paraissait être celui dune femme qui prenait
grand soin delle : les rondeurs, là où il fallait et qui semblaient avoir gardé toute
la fermeté de leur jeunesse. Javais immédiatement ressenti un titillement dans mon
bas-ventre. Un signe qui ne me trompait pas. Je commençais déjà à avoir envie de la
femme.
Le garçon -vingt deux ans environ - était vraiment beau. Une beauté encore juvénile :
assez grand, il devait approcher du mètre quatre-vingts. Les trais aussi fin que ceux
de sa maman, avec de grands yeux noirs quil devait tenir de son père, parce que trop
différents de ceux de sa maman. Il était mince et certainement sportif, tant il se
déplaçait avec souplesse. Je me fis immédiatement la réflexion, quil nétait pas fait
pour le métier dofficier de marine. Il sera une proie facile pour tous les satyres
matelots ou même officiers qui hantent les bateaux au cours des longues traversées
sans femmes. Il deviendra, de gré ou de force, la femme de lun dentre eux; ou peut-
être même de plusieurs. Il me semblait trop tendre pour pouvoir se battre
efficacement et se faire respecter.
- Je viens vous remercier pour votre aide. Rayan , vient dêtre accepté comme
officier mécanicien stagiaire sur « Le Cherchell » un porte-containeurs qui fait la
traversée sur lAmérique.
- Ce nétait vraiment pas la peine de vous déranger. Je nai rien fait
dimportant. Une simple recommandation. Soraya, mavait expliqué que votre fils avait
du mal à trouver un bateau pour son stage pratique. Jespère que « Le Cherchell » fera
laffaire. Je vous souhaite une bonne traversée, jeune homme. Cela va être dur.
Jespère que vous en êtes conscient. Près de deux mois en mer, ce nest pas de la
tarte !
- Oui je sais ! Mais cest cela que je veux comme métier. Merci encore.
Jembarque dès demain.
Pendant tout ce temps-là je narrivais pas à quitter Farida des yeux. Elle-même me
fixait de manière énigmatique. Elle me regardait de haut en bas, puis de bas en haut,
comme si elle était entrain de me jauger. De jauger ma virilité. Elle ne disait rien,
mais jétais sûr que je lui plaisais et quelle cherchait le moyen de me le faire
comprendre. Elle attendait certainement que je fasse le premier pas. Sans même en
prendre conscience, jétais entrain de bander pour elle. Je regardais sa bouche et je
me posais la question de savoir si elle suçait et comment elle suçait. Et jétais sûr
quelle adorait sucer. Allez comprendre comment de telles idées pouvaient vous
traverser lesprit envers une personne que vous venez juste de rencontrer, et avec
laquelle, vous ne faites quéchanger des amabilités.
Je sais quil ne sagit là que du produit de mon imagination débridée, mais jais
certain que ses yeux me parlaient. Ils me disaient : oui, je suce ! Oui, je baise !
Oui tu me plais ! Oui je veux baiser avec toi ! Et je bandais de plus en plus. Mais je
ne pouvais rien faire pour lui communiquer mon envie delle. Elle se leva pour partir.
Et au lieu de me tendre la main pour serrer la mienne, elle contourna le bureau et me
fit une bise sonore sur la joue, tout près de la commissure de mes lèvres, me faisant
ainsi sentir la fermeté des siennes. Mon sexe fit un bond de cabri dans mon pantalon.
Je retins difficilement lenvie de prendre son visage entre mes mains et de lui rouler
un patin torride et mouillé.
- Tenez-moi au courant de la suite. Soraya vous donnera mon numéro personnel.
- Je lai déjà, me susurra-t-elle à loreille, comme pour me dire quelle
mappellera très bientôt.
/
Elle mappela le lendemain, officiellement pour mannoncer que Rayan avait embarqué et
quil était tout heureux de le faire. Et aussi pour minviter à venir partager avec
elle et son mari un succulent repas, en remerciement de mon intervention. Elle se
targuait dêtre une excellente cuisinière. Je la remerciai pour son appel, tout en
refusant poliment son invitation chez elle. Ce nétait absolument pas ce que voulais :
un repas pris en famille de plus avec son mari. Ce que je voulais, cétait de me
retrouver seul avec elle et de jauger des possibilités pour une suite plus épicée. A
ce moment-là, je ne savais pas encore ce que pouvait signifier, une invitation de
Farida, pour partager un repas en famille. Je le saurais très vite. Mais pour le
moment, je nétais pas disposé à perdre mon temps en salamalecs avec un homme que je
ne connaissais pas et que je ne voulais pas connaître. Je dis donc à Farida que mon
emploi du temps ne me permettait pas de mabsenter trop longtemps du bureau, mais que
si elle voulait, cétait moi qui linvitais dans un restaurant chic dans lequel
javais mes habitudes. Et que cela me ferait très plaisir quelle accepte de partager
avec moi mon repas de midi. Et comme je my attendais, elle accepta immédiatement;
pour encore me remercier, ajouta-t-elle, comme sil lui fallait un prétexte « moral »
pour cela.
Jinformai Soraya de mon rendez-vous, lui demandant de me réserver une table dans le
restaurant en question. Elle ne fut nullement étonnée de la manière dont les choses
évoluaient. Elle connaissait bien Farida et savait que quand elle avait un homme dans
son viseur, rien ne pouvait lempêcher de lavoir. Elle me fit un petit sourire qui me
fit comprendre quelle ne partageait pas mon enthousiasme, mais ne fit rien pour me
dissuader. Elle savait trop bien, que de toutes les façons, je nen ferai quà ma
tête. Farida arriva avec une demi-heure de retard. Elle me trouva attablé sirotant une
bière pour faire passer le temps plus vite. Elle sapprocha de moi, à pas lents et en
dandinant du cul, me laissant tout le loisir de lobserver et dadmirer la belle
plante. Encore une fois, sans quelle ne fasse quoique ce soit pour réveiller le
cochon, mon sexe se mit à frémir et une douce chaleur irradiait de mon bas-ventre et
alla réchauffer tout mon corps.
Cette femme, sans rien dire ou faire, avait le don de me faire bander comme un bouc.
En sa présence, il ny avait dans ma tête quune seule pensée : la baiser ! Et la
baiser encore et toujours! Et elle était parfaitement consciente de leffet quelle me
faisait. Je ne savais pas comment entamer la discussion avec elle. Je ne voulais pas
que nous perdions du temps avec les remerciements, les compliments, la pluie et le
beau temps. Je voulais que notre relation débute immédiatement par lamour. Rien que
lamour ! Il fallait que je lui comprendre immédiatement quelle me plaisait et que je
voulais me la faire. Dans ces termes ! Je nétais pas sûr quelle appréciera, ni
surtout quelle ne menvoie pas une claque et me traite de tous les noms. Jen étais
là dans mes réflexions quand elle arriva à ma table. Je me levais pour la recevoir, et
tirer sa chaise pour lui permettre de sassoir. Mais avant de le faire - et avec
quelle grâce ! - elle membrassa sur les joues, en frôlant par deux fois la
commissure de mes lèvres. Elle me refit le coup de la dernière fois en me faisant
sentir la douceur et la fermeté de sa bouche.
Je navais plus à hésiter, me dis-je. Elle vient dannoncer la couleur. La belle était
prête à aller loin avec moi. Je pris donc la discussion en main, lui parlant de sa
beauté, de toute la sensualité quelle dégageait, de leffet quelle me faisait, de
lenvie que javais de passer toute laprès-midi avec elle, et bien dautres choses du
même acabit. Longtemps, elle me laissa parler, se contentant de me regarder en
souriant. Elle ne semblait pas choquée par tous les mots que je débitais, mais
refusait encore de me répondre. Jétais sur des charbons ardents. Dun côté, jétais
déjà allé trop loin pour faire marche arrière et changer de sujet de conversation ;
dun autre javais lintuition que Farida me faisait mariner exprès, peut-être pour
prendre de lascendant sur moi. Cétait moi le demandeur. Cétait moi qui bandais pour
elle. Cétait donc moi le plus faible des deux. Il me fallait faire quelque chose. Je
lançais ma main pour prendre la sienne sur le dessus de la table. Elle eut un
millièmes de seconde dhésitation, puis abandonna sa main dans la mienne. Youpi !
Cétait gagné ! Je me mis, au vu et su des quelques clients présents autour de nous
tous des hauts cadres dentreprises publiques et des ministères qui avaient fait de
lendroit leur lieu privilégié de restauration de la mi-journée à caresser la main
de la belle. Une main dune douceur de soie, avec des doigts fins et longs. Je la
regardais dans les yeux, en essayant de deviner ce quelle pensait. Le serveur arriva
à ce moment pour nous servir une paëlla, que javais au préalable commandée (cétait
la spécialité du chef, et jusque là je navais jamais eu à men plaindre). Nous
mangeâmes silencieusement pendant quelques minutes. Puis ce fut elle qui remit sa main
dans la mienne et se mit à me caresser doucement.
- On va chez toi ?
- Immédiatement !
De toute ma vie, je nai jamais mangé aussi vite dans un restaurant. Nous avalâmes en
quelques minutes, comme si nous étions morts des affamés et comme si nous faisions une
course poursuite, le contenu de nos assiettes et nous quittâmes le lieu en nous
hâtons, comme si nous avions le feu aux trousses. Quand nous arrivâmes chez moi, il ne
devait pas être plus de treize heures trente minutes. Jouvris fébrilement la porte de
mon appartement et tirai presque brutalement sur la main de Farida, pour la faire
pénétrer plus vite à lintérieur. Nous étions à limage dun couple dadolescents, à
leur premier rendez-vous : aussi impatients et aussi fébriles. Peut-être même, aussi
émus.
Je la pris dans mes bras pour la serrer très fort et pour lui donner un baiser que je
voulais passionné, torride et mouillé. Elle colla son corps chaud et frémissant contre
le mien et répondit à mon baiser avec passion et violence. Son baiser et les
milliers dautres que nous échangeâmes depuis étaient de vrais chefs-duvre
dérotisme. Elle utilisait sa langue à la perfection. Elle en faisait une machine
destinée à accroître de plusieurs niveaux lintensité de mon désir. Elle était ferme,
fine et agile et pénétrait en maîtresse absolue dans ma bouche pour venir titiller ma
langue, un peu plus hésitante pour le moment. Ses lèvres, fines et légèrement
ourlées, étaient collées aux miennes comme des ventouses; elles ne laissaient rien
passer ; pas même loxygène dont nous avions besoin elle et moi. Ses dents
sentrechoquaient contre les miennes. Mais cétait surtout sa langue qui faisait tout
le travail : parfois, elle titillait gentiment la mienne ; parfois elle lui montait
dessus et tournait autour delle, comme pour lavertir quelle allait lattaquer.
Parfois encore, elle allait chercher, sur la paroi buccale ? tout ce quelle trouvait
de salive et la buvait avec délectation. En retour, elle menvoyait un peu de la
sienne pour que je mabreuve, moi aussi. Farida était la reine du baiser mouillé !
Au bout dun temps, je me dis que cétait moi lHomme et que cétait donc à moi de
prendre les choses en main. Ma langue entama un duel avec la sienne et prit rapidement
le dessus. Elle réussit à pénétrer dans sa bouche et à y rester ! Elle y fit son nid !
Mais comme ma belle ne voulait pas se laisser imposer quoique ce soit, elle riposta
rapidement. Nos langues se défièrent et entreprirent un véritable duel pour savoir une
fois pour toutes qui était le maître. Elles se toisèrent, se titillèrent, attaquèrent
de front, sévitèrent pour mieux se surprendre, montèrent lune sur lautre. Au
passage, elles ramassèrent des quantités inouïes de salive quelle et moi avalâmes
goulûment. Nous narrêtâmes le duel quune fois au bord de l.
Nous séparâmes nos bouches pour reprendre notre respiration et observer leffet du
baiser sur nous. Je fus rassuré de la voir sourire de satisfaction. Je supposai
quelle aussi était rassurée sur mes capacités à répondre à ses besoins érotiques que
je devinais immenses et tyranniques. Je méloignai de quelques dizaines de centimètres
delle pour pouvoir la regarder, admirer son corps encore enveloppé par ses habits et
décider de la suite à donner à nos ébats. Elle se laissait contempler en souriant et
semblait elle aussi attendre impatiemment la suite. Elle mavait laissé le soin de
décider de ce qui allait suivre.
- Tu es magnifique ! lui dis-je. Et tu sembles aussi impatiente que moi de
mappartenir !
- Wach testena bach ett-nikni ! (Quest-ce que tu attends pour me baiser ?)
- Nebda enn-nikek bel wegfiya! Nahi foulartek! Nahi houwaydjek! Khelini enn-
chouffek 3aryiana! (Je vais commencer à te baiser debout! Enlève ton foulard ! Enlève
tes habits ! Laisse-moi te voir toute nue !)
Elle leva les bras pour enlever son foulard en sy prenant avec les deux mains. En une
fraction de seconde, elle se retrouva tête nue, laissant à découvert une magnifique
chevelure auburn, remontée en chignon sur le haut de sa tête. Le chignon tenait avec
une seule épingle, quelle enleva en une seconde, toujours en saidant de ses deux
mains. Elle secoua la tête et les cheveux vinrent sétaler en vagues jusquau dessous
de ses épaules. Elle était superbe ! Satisfaite de leffet sur moi, elle me regardait
presque avec provocation. Je me dis quil fallait que je fasse quelque chose. Je
navais pas à attendre quelle se déshabille. Il fallait que ce soit moi qui lui
enlève ses habits. Et à ce jeu-là, jétais vraiment maladroit. Mais quimporte !
Jallais lui arracher sa liquette, tout ce quelle portait en dessous et son jean et
ses dessous, et
Jallais la dénuder et cétait tout ce qui comptait pour moi sur le
moment! Quimporte le moyen ! Et quimporte si je lui déchire quelque chose !
Et je commençai par la liquette - la même quelle portait la première fois que je fis
sa connaissance - en la faisant passer brutalement par dessus sa tête. Cela se passa
bien. Elle resta en chemisier de soie grise et transparente, qui laissait entrevoir
une paire de seins tendus comme de petits obus au dessus dun soutien-gorge à
balconnets de couleur noire. Ils paraissaient très fermes, malgré son âge (Elle
mexpliqua par la suite, quelle avait toujours soigné son corps, et que sagissant de
sa poitrine, elle avait toujours refusé dallaiter son fils quand il était bébé. Elle
ne voulait pas quil les lui déforme.) Il fallait que je les dénude au plus vite pour
confirmer leur beauté et leur fermeté. Jétais tenté de les écraser entre mes mains à
travers le chemisier et le soutien-gorge cétait chez moi une pulsion irrépressible,
chaque fois que je me trouvais en face dune belle paire de seins mais je me retins
et commençai à déboutonner fébrilement le chemisier. Et comme, il fallait sy
attendre, je my pris de façon si maladroite, que Farida intervient pour enlever elle-
même les deux morceaux de tissu. Elle resta debout, le dos collé contre la porte
dentrée, le torse complètement dénudé, fière de sa beauté.
Elle avait des épaules larges et rondes et une cage thoracique développée. Ce nétait
pas une femme plantureuse, mais elle avait des rondeurs coquines partout où elle
devait en avoir. Cétait bien, comme je lavais deviné la première fois, une fausse
maigre, avec une taille fine, sans aucune trace de bourrelets. Ses seins étaient de
taille moyenne et tendus vers lavant, mettant en évidence la fermeté de leur chair.
Ils étaient beaux. La grande auréole violacée qui entourait ses tétons marron foncé
ajoutait à la beauté et la sensualité de lensemble.
Je la repris dans mes bras pour lembrasser et pour sentir la douceur et la chaleur de
sa poitrine. Je me mis à lui caresser tout doucement les seins avec mes deux mains.
Elle avait la peau tellement douce ! Les seins si fermes ! Elle se laissait faire en
ronronnant. Elle aimait mes caresses et me le montrait en poussant de tous petits
gémissements de plaisir. Je continuais de bander de plus en plus fort. Je commençais à
ne plus pouvoir résister à lenvie de la tirer. Je me mis à genoux à ses pieds et
entrepris de lui enlever le jean, pour me retrouver en présence de son paradis. Et là
encore, je my pris de manière si maladroite, quelle en rigola et se substitua à moi
pour enlever son pantalon et lenvoyer dun coup de pied à lautre bout du hall. Elle
resta vêtue uniquement dun string en soie de la même couleur que son soutien-gorge.
Elle était exactement comme je le devinais. Superbe, avec ses hanches rondes, pas très
larges ; ses longues jambes fines et galbées, à la peau douce et brillante, à limage
du reste de son corps ; ses genoux ronds et luisants ; ses mollets longs et musculeux
(elle portait encore ses soulier à haut talon). Il métait absolument impossible de
me retenir. Je me levai précipitamment et me mis en face delle. Je plongeai ma main
entre ses longues cuisses blanches et fermes pour aller fourrager à la surface du
petit triangle de son string. Le tissu était mouillé. Très mouillée même! Farida était
aussi excitée que moi ! Je passai mes doigts à lintérieur de lélastique et fis
descendre le string jusque sur ses chevilles. Elle sen débarrassa rapidement en
lenvoyant rejoindre le pantalon à lautre bout du hall. Sa chatte était superbe !
Comme tout le reste dailleurs. Le pubis était bombé et revêtu dune légère toison
auburn, taillée en triangle. Les grandes lèvres que je ne pouvais pas encore voir dans
leur totalité, paraissaient longues et fines, et complètement épilées. Un bout de ses
petites lèvres, fines, cramoisies et palpitantes, apparaissaient à travers louverture
des grandes lèvres. Toute sa chatte avait une couleur plus sombre que ses cuisses et
lui donnait un aspect mystérieux et attirant.
Je levai la tête pour regarder Farida et massurer de létat dans lequel elle était.
Ses petits yeux brillaient de mille étoiles et ses lèvres tremblotaient à leur
commissure. Elle me regardait droit dans les yeux et mordonnait silencieusement de
lentreprendre. Et ses ordres je les connaissais par cur. Je savais quelle voulait
que je sorte mon manche et que je pilonne sa chatte immédiatement. Elle mordonnait en
silence :
- Nikni hadhak belwougfiya ! Khelini en-chouf zebbek ! Akhredj zebek ! Khalini
en-chouffou ! Habat essarwal ! (Baise-moi comme cela debout ! Laisse-moi voir ton zob
! Sors ton zob ! Laisse-moi le voir ! Descends ton pantalon !)
Jessayais maladroitement de défaire mon ceinturon et denlever mon froc. Elle trouva
le temps trop long et entrepris elle-même de men débarrasser. Elle défit fébrilement,
mais avec un savoir-faire indéniable, le ceinturon, déboutonna le pantalon, ouvrit la
braguette et plongea sa main à lintérieur de mon boxer pour palper lengin.
- Ouah !!! 3andek zeb enta3 hmar ! Kima enn-habhoum ! Nikni ! Dekhalhouli !
Dekhlou fi souwti ! Kessar-li hatchouni ! Warri-li qouwat zebek ! (Ouahhh ! Tu as un
zob dâne ! Comme je les aime ! Baise-moi ! Met-le moi ! Mets-le-moi dans la chatte !
Démolis-moi la chatte ! Montre-moi la puissance de ton zob !)
Je me débarrassai du pantalon et du boxer dun coup de pied, en les envoyant rejoindre
les affaire de ma maîtresse à lautre bout du hall. Je restai le zob frémissant en
lair, brandi vers le plafond. Je plaquai Farida contre la porte, et pour lui faire
ouvrir les cuisses, je lui soulevai la jambe gauche en passant mon avant-bras droit
sous son genou. Je pris le manche dans ma main gauche et me mis à chercher fébrilement
louverture de ses grandes lèvres. Elle avait passé ses bras autour de mon cou et sy
accrochait fermement. Je la sentais qui attendait, en respirant fort elle haletait
littéralement - linstant où jallai pénétrer en force dans son tunnel. Le gland de
mon sexe avait fini par trouver louverture des grandes lèvres. Je poussai doucement
pour lintroduire entre elles et trouver lentrée de la grotte. Elle ruisselait
littéralement. Je jubilais car je savais que je navais pas à prendre de précaution
pour la pénétrer. Elle avait la chatte parfaitement lubrifiée. Comme le sadique que
jai toujours été dans ces situations, javais plié les jambes pour me positionner en
dessous de la chatte de Farida dans le but de la pénétrer en lui faisant mal. Javais
un manche dune bonne longueur et dune bonne grosseur et je savais que jallais
provoquer en elle une forte douleur. Jen jubilais par avance !
Je donnai une brusque poussée à mes hanches et me retrouvai immédiatement à
lintérieur dun vagin étrangement étroit et moulant pour une femme de cet âge et de
cette expérience. Le lieu était chaud et humide. Le paradis ! Tellement doux et chaud,
que je nétais plus aussi pressé daller et venir à lintérieur. Javais envie de
rester ainsi, le membre enfoncé dans ce tunnel, si accueillant et fait sur mesure pour
moi. Mais Farida, qui avait qui avait eu effectivement très mal au cours de
lopération et poussa un cri de douleur long et perçant, ne lentendait pas de cette
oreille: elle voulait que je la tire avec la même force ; que je fasse aller et venir
mon manche brutalement dans son vagin ; que je continue de lui faire mal ; quelle
devienne lesclave de mon engin.
- Edjbed-ni bezzour ! kthar men hadha ! Guetta3-li souwti ! Woudja3ni ! Enn-
heb zebek ! Houwa chikour enta3i ! Ou ana qahba enn-ta3ou ! (Tire-moi fort ! Plus
fort que ça ! Déchire-moi le vagin ! Fais-moi mal ! Jadore ton zob ! Cest mon mac!
Et moi je suis sa pute !)
La position dans laquelle nous étions, ajoutait à la puissance et la brutalité
naturelles de mes coups de boutoir. Farida sentait la force de mon engin. Il limait
furieusement son tunnel en y provoquant un véritable incendie. Et en jubilait, tout en
hurlant ses ordres en arabe. La langue ave laquelle elle adorait baiser. Elle mavoua,
juste après cette étreinte, quelle avait un peu honte de se laisser aller comme cela
à hurler des insanités. Mais elle ajoutait que cela lui permettait de jouir comme une
folle. Les mots vulgaires quelle prononçait en arabe algérien avaient sur elle
leffet dun puissant aphrodisiaque qui accroissait très fort lintensité de son
excitation et du plaisir quelle prenait sous les coups de boutoirs de ses amants.
Elle était collée contre la porte, la jambe droite relevée très haut, maintenue par
mon avant bras. Je lavais soulevée dune quinzaine de centimètres du sol pour pouvoir
la piner plus facilement. Elle était accrochée à mon cou, sa tête lovée au creux de
mon épaule. Je ne la voyais pas, mais je pouvais sentir sa respiration haletante et
entendre sa voix qui continuait de prononcer à mon oreille ses mots et ses demies
phrases dune vulgarité exquise. A chaque fois, mon zob la pénétrait profondément et
lui faisait mal. A chaque fois, elle poussait un cri qui était un mélange de douleur
et de plaisir. Elle adorait cette sensation ambigüe davoir mal et daimer cela. Cela
ajoutait à son plaisir. Elle narrêtait pas me le dire et de mencourager à y aller
encore plus fort.
- Zid fel khouchouna ! Zid awdja3ani ! Zid fel qouwa! Enn-hab ki touwdja3ni !
Ouwdja3ni ! Zi ! Zid ! Ziiiiiiiiiiiiiiid ! (Encore plus de violence ! Fais-moi encore
mal ! Encore plus de puissance ! Jadore quand tu me fais mal ! Fais-moi mal ! Encore
! Encore ! Encoooooooore !)
Elle poussa subitement un long râle et eut un immense orgasme en déchargeant, en
continu, une énorme quantité de cyprine. Je continuais imperturbablement à aller et
venir en elle avec la même force, mais de plus en plus vite. Son jus ressortait sous
leffet pompe de mon manche et allait sétaler parterre en dessous de nous. Elle
respirait difficilement et haletait, en continuant de crier quelle jouissait et de
mordonner de ne pas arrêter mes furieux coups de reins. Inconsciemment, elle mordit
avec violence mon épaule gauche et resta ainsi les crocs plantés en moi jusquà ce
quelle perde connaissance. Je la sentis en effet devenir plus lourde, comme si tous
ses muscles avaient fondu et ne pouvaient plus la supporter. Jarrêtais les va-et-
vient de mon manche dans son tunnel, et la plaquai plus fortement contre la porte pour
quelle ne tombe pas. Je la maintins ainsi jusquà ce quelle reprenne connaissance.
Elle reprit conscience quelques minutes plus tard. Elle éloigna sa tête de la mienne,
me regarda avec ses yeux voilés par le plaisir quelle avait pris et, en me souriant,
elle me demanda de lembrasser. Je lui donnai un léger baiser. Elle le trouva
insuffisant et me força à lui appliquer un vrai patin damant. Javais toujours le
manche planté en elle : je navais pas joui (je pensais quelle ne jouirait pas aussi
vite, et javais fait en sorte de me retenir) et je tenais encore la forme olympique.
Tout en restant dans la même position, avec mon sexe toujours vaillant, je lui
appliquai le type de baiser quelle demandait - super mouillé et super torride -
quelle me rendit dans les mêmes formes. Je sortis précautionneusement de sa chatte et
la déposai par terre. Elle se mit immédiatement à genoux à mes pieds et pris mon
manche toujours en érection pour le sucer
- Khellini enn-lahssou ! Khellini enn-ra3dhou ! Khellini enn-ghaslou ! Makache
li ya3ref ya3radh zeb kima ana ! (Laisse-moi le lécher ! Laisse-moi le téter !
Laisse-moi le nettoyer ! Il nexiste pas de femme qui sache téter un zob comme moi !)
Et elle me fit une magnifique fellation. Petit à petit, la fellation qui avait
commencé gentiment, se transforma en séance de baise par la bouche. Jai toujours été
tenté, quand mon zob entreprenait une bouche de transformer une fellation en baise. Et
Farida accepta très facilement la chose. Elle eut très mal, mais ne men voulut pas.
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